PLACEMENTS

Soutenir l’économie réelle, c’est créer des emplois, agir efficacement en faveur de la croissance économique et diversifier utilement son patrimoine financier.

Pour éviter de perdre de l’argent sur nos économies, la seule solution est de pouvoir placer son argent à un taux supérieur au taux de l’inflation.

Je peux vous proposer d’investir dans des obligations allant de 6%, 8%, 10%, voire même 12% par an en ce moment, et sur une durée limitée.

Forcément ces placements ne sont pas sans risque.

Mais le risque est très limité en prenant un maximum de garanties.

Investir sur des obligations est généralement plus sûr que d’investir en actions.

Les détenteurs d’une dette sont en effet prioritaires sur les actionnaires et, en cas de banqueroute, les créanciers sont remboursés avant les actionnaires.

Les obligations assurent des revenus fixes à leurs propriétaires alors que les actions sont plus souvent sujettes aux turbulences des marchés.

A cet égard, les obligations assurent une certaine stabilité dans les portefeuilles de placements financiers.

Les taux d’intérêts des obligations sont beaucoup plus attrayants que certains placements traditionnels comme les livrets d’épargne ou les contrats d’assurance vie.

Contrairement aux actions, l’Obligation n’est pas un titre de propriété mais un titre de créance. Elle représente une part de la dette que l’entreprise s’engage à rembourser et prouve que l’Émetteur (l’entreprise) doit une certaine somme d’argent au Prêteur (Le souscripteur). Acheter une obligation revient donc à prêter de l’argent à une entreprise qui a émis cette obligation pour investir et se développer. En échange de ce prêt, le souscripteur perçoit un intérêt, versé le plus souvent sous la forme d’un Coupon.

FRAIS : L’investisseur n’est redevable d’aucun frais

FISCALITÉ : La Flat Taxe ou Prélèvement Forfaitaire Unique correspond à une imposition «à la source» de l’ensemble des produits de placements (intérêts, dividendes, assurances vie...). Son taux de 30% est composé de 12,8% correspondant au paiement de l’impôt sur le revenu à proprement parler et de 17,2% de prélèvements sociaux.